Case

Finisterre

Tom Kay a fondé Finisterre en 2003. Ce geek de la mer auto-proclamé, a une passion pour les vagues et l’eau salée, et veut la transmettre avec sa marque, à travers chaussettes, combinaisons, vêtements et sous-vêtements. La mission de la marque ? Créer des produits innovants et durables avec un impact faible voire nul sur l'environnement.

Au cœur de l’histoire de Finisterre, il y a une philosophie sur la conception éthique et traçable. Et, grâce à I-spy, la marque peut communiquer ouvertement sur le sujet. L'outil suit à la trace toutes les étapes du produit, de la conception à la vente.

Les achats responsables et optimisés sont essentiels dans la phase de production de Finisterre. Par exemple, la marque travaille avec des tissus produits en Europe, au nord du Royaume-Uni pour être précis. Ses partenaires font appel à des artisans expérimentés pour transformer le polyester recyclé en tissu et créer des fibres 100 % recyclables. De plus, Finisterre est un fervent partisan du coton biologique comme en témoigne son « projet Bowmont ». Pour cette initiative, la marque s'est associée avec le seul éleveur de moutons Bowmont au Royaume-Uni afin de s'assurer que cette race et sa laine de haute qualité et durable reste disponible en Angleterre. Enfin, non seulement les ressources de Finisterre viennent du Royaume-Uni, mais la production est aussi locale.

Une fois les vêtements vendus, la marque ne transmet pas simplement la responsabilité de l’entretien à leurs nouveaux propriétaires. Tous les articles de la marque sont garantis à vie et les clients peuvent facilement les faire réparer au lieu de les jeter. Il est donc évident que la marque n'apprécie pas notre société du tout jetable...

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