Case

Nomadic State of Mind

L’histoire de Nomadic State of Mind débute – comment pourrait-il en être autrement ? – dans un bus Volkswagen que le fondateur Chris Anderson utilisait dans les années ’90 pour vendre des sandales fabriquées à la main. Sa petite entreprise se développa progressivement. Dès le début, l’accent fut mis sur l’aspect social et le commerce équitable. C’est ainsi qu’Anderson apprit l’art de la fabrication de sandales en corde à une petite communauté du Nicaragua notamment, ce qui permit aux ouvriers d’acquérir des revenus stables. Tous les collaborateurs de Nomadic State of Mind – en 2018, la marque travaillait avec 47 artisans – bénéficient d’un salaire équitable. La corde utilisée se compose en partie de propylène recyclé. Le matériau est ultra solide et la stabilité des couleurs est garantie.

Désormais, Nomadic State of Mind ne sillonne plus les routes ce qui n’empêche cependant pas le cerveau d’Andersen (et celui des autres membres de son équipe) de bouillonner de tous côtés. Un trait de caractère qui donne naissance à une foule de projets connexes. C’est ainsi qu’à un certain moment, le fondateur décida de ne plus jeter les restes de corde mais de les employer pour fabriquer de nouveaux produits comme des tapis, des sacs, des supports pour bouteilles d’eau ou encore, des paniers à pique-nique. Le processus de fabrication prend pas mal de temps et, au final, il n’y a jamais deux pièces semblables.

Ne se contentant pas d’un seul projet connexe, Nomadic State of Mind lança également une ligne de vêtements en tissus naturels comme du coton biologique, du bambou, du chanvre ainsi que des matériaux recyclés.

Pour en savoir plus au sujet de la marque, consultez le blog de Nomadic State of Mind. L’équipe y communique en toute ouverture au sujet notamment de la recherche de semelles adéquates et durables pour les sandales.

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